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Oeuvre monumentale de Land Art

Anamorphose Op'kell, un autre point de vueUne anamorphose de 450 m² sur l’esplanade de la Cité !

Cette oeuvre monumentale vient compléter l’exposition de la Cité des télécoms consacrée aux illusions d’optique où les visiteurs peuvent tester une cinquantaine d’expériences  autour des illusions physiques, visuelles et cognitives. Véritable point d’orgue, cette  anamorphose a été réalisée pour leur procurer encore plus d’étonnement et  d’émerveillement.

L’Art à la Cité des télécoms

Dans le courant de l’Op Art (art de l’optique), cette oeuvre de Land Art qui mêle jeu d’optique, effet visuel et maîtrise des perspectives a trouvé sa place dans l’écrin de verdure, que constitue l’esplanade du Radôme, relevé par la blancheur du Radôme.

Le triskell comme trait d’union

L’une des symboliques du triskell, avec ses trois spirales entrecroisées, évoque le trait d’union entre passé, présent et futur. Hier symbole de modernité, le Radôme et son antenne-cornet ont permit la naissance des télécommunications internationales par satellites (1962). Cette énorme bulle blanche fut un maillon important de la chaîne de la communication entre les hommes. Aujourd’hui la Cité des télécoms, dans son centre d’expositions, partage avec son public une ouverture vers la connaissance présente et future de l’univers des télécommunications.

Le plus grand triskell jamais réalisé

L’anamorphose couvre 450 m², soit une ellipse de 50 m de long et 10 m de large. Elle a nécessité 290 plaques de bois, 485 m linéaires d’équerres, 55 m3 de terre végétale, 10 m3 de gravier de quartz blanc et 170 m² de pelouse.

François AbélanetUne oeuvre signée de l’anamorphiste François Abélanet

Passionné de Land Art, architecte DPLG, François Abélanet décline sa passion pour la création, le jardin et bien sûr l’anamorphose via ses installations monumentales. Tour à tour décorateur de théâtre, de cinéma, scénographe, sculpteur d’espace, il jongle avec la géométrie, les perspectives, les volumes. Pour le plus grand plaisir des gens qui passent, s’arrêtent, participent.
Metteur en scène de la nature, on lui doit un certain nombre d’anamorphoses spectaculaires à St Germain en Laye (globe et cube géants, 2009), Bagatelle (installation végétale 3D, 2010), Paris ( parvis de l’hôtel de ville, 2011), Lyon (place Bellecourt, Guiness Book des Records, 2013), La Défense (2014), Pleumeur-Bodou actuellement… Des installations monumentales qui l’ont révélé au grand public.
Étonner, émerveiller, donner à voir, à regarder différemment sont ses credo. Nul doute que son nouveau défi ne laissera personne indifférent.